Dans cette seconde partie de l'étude consacrée à la sculpture du 14e s. en Sicile, mise en évidence à travers plusieurs oeuvres des premières décennies du siècle (dont le tombeau de la reine Constance d'Aragon à la cathédrale de Catane, le sarcophage de Frédéric d'Antioche à la cathédrale de Palerme, des sarcophages, chapiteaux, fonts baptismaux) d'un courant particulièrement archaïque caractérisé par un ornement stylisé, le sentiment d'une taille de réserve que l'auteur explique par les références faites dans la culture sicilienne contemporaine au riche répertoire décoratif élaboré des civilisations aniconiques, l'arabe et la byzantine de l'iconoclasme, mais aussi par l'emploi de matériaux tendres
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