Etude de deux pendules en bronze doré commandées en 1754, peut-être dessinées par les frères Sébastien-Antoine et Paul-Ambroise Slodtz. Des documents d'archives publiés en note attestent que les deux objets furent fondus et ciselés par le fondeur Edme-Jean Gallien, dorés par Louis-François Gobert et que le mécanisme fut l'oeuvre de l'horloger Jean Martinot. Tout ce travail fut supervisé par le marchand Thomas-Joachim Hébert. La pendule, initialement dans la chambre du roi à Compiègne, est aujourd'hui conservée à Versailles; l'autre pendule, destinée au Cabinet du Conseil de Fontainebleau, est perdue depuis 1795
Sauf mention contraire ci-dessus, le contenu de cette notice bibliographique peut être utilisé dans le cadre d'une licence CC BY 4.0 / Unless otherwise stated above, the content of this bibliographic record may be used under a CC BY 4.0 license