L'auteur tente de montrer que les révolutions esthétiques de la modernité n'ont pas nécessairement aboli la dimension symbolique de l'art: d'une part la destruction des symboles traditionnels n'exclut pas la possibilité qu'apparaisse un nouveau paysage symbolique, d'autre part l'effacement des symboles traditionnels ne remet pas en cause la symbolicité foncière de l'art. C'est à la lumière d'une phénoménologie tournée vers l'ontologie que l'auteur essaie d'expliquer quelques unes des aventures artistiques les plus marquantes du 20e siècle: le ready made, le monochrome, le surréel
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