Le mérite de Clement Greenberg est d'avoir su hausser la théorie du modernisme au rang des théories générales sur la peinture, c'est-à-dire ayant une valeur explicative. Pour asseoir sa définition du modernisme, Greenberg invoque le criticisme kantien, a priori incompatible avec la critique d'art si éloignée de la raison. C'est ce tour de force que l'auteur analyse ici
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