Etude examinant quelques manifestations artistiques directement liées à l'exaltation du mythe fasciste, l'image et le mythe de la Rome impériale comme métaphore de la puissance de l'Italie fasciste, Mussolini comme Auguste. L'auteur se limite à des oeuvres et à des décors qui se trouvent ou se trouvaient à Rome et qui correspondent à des changements ou des ruptures dans la politique et la propagande du Régime: exposition de la Romanité ou du Bi-millénaire d'Auguste (1937), l'EUR, Museo della Civiltà romana, le Foro Italico ou Foro Mussolini et en particulier les mosaïques du Viale dell'Impero (1937) par Gino Severini, Giulio Rosso, l'E42, quelques cartons et oeuvres (mosaïques des fontaines prévues, la fresque d'Achille Funi Tous les chemins mènent à Rome au Palazzo dei Congressi
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