L'examen de la marque typographique d'un éditeur florentin, connue par une édition de 1533 mais antérieure d'une vingtaine d'années, dans laquelle le rôle principal est joué par une scène figurée dans laquelle apparaît Laurent le Magnifique, pousse l'A. à y voir le remploi ou plutôt l'imitation des gravures qui illustrent le Songe de Poliphile ; et la comparaison de ces gravures avec des fresques de Benozzo Gozzoli, au Campo Santo de Pise et à San Geminiano, font attribuer ces gravures qui ont donné lieu à tant d'hypothèses à Benozzo Gozzoli
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